
-
Ermittlungen gegen Perus Präsidentin Boluarte wegen Geldwäscheverdacht
-
Britischer König Charles und Ehefrau Camilla beginnen Besuch in Deutschland
-
"Ampel" verständigt sich auf Maßnahmenpaket für klimafreundliche Transformation
-
Medien: FIFA verurteilt Köln zu Transfersperre
-
Verhaltene Chancen für Tarifeinigung bei Bund und Kommunen
-
IBU und FIL schließen aktuell Rückkehr der Russen aus
-
Rüstige Seniorin vertreibt in Sachsen Einbrecher dank Spuren in Schnee
-
IAEA-Chef Grossi an ukrainischem Atomkraftwerk Saporischschja eingetroffen
-
Berlin und Nairobi vereinbaren verstärkte Zusammenarbeit bei erneuerbaren Energien
-
Britischer König Charles III. kommt zu dreitägigem Staatsbesuch nach Deutschland
-
67-Jähriger bei Arbeitsunfall in Baden-Württemberg von Palette erschlagen
-
Schweizer Großbank UBS holt früheren Chef Sergio Ermotti zurück
-
Charles am Brandenburger Tor in Berlin mit militärischen Ehren empfangen
-
Erstes Treffen zwischen Israels Regierung und Opposition zu umstrittener Justizreform
-
Zahl der Bezieher von Elterngeld leicht gesunken
-
Historiker: Bei Naturschutz ist Charles Deutschen näher als eigenen Landsleuten
-
Bundesverfassungsgericht: Gesetz zu Kinderehen ist verfassungswidrig
-
Dröge: Koalition muss im Klimaschutz nachbessern
-
Hordorff legt Amt beim DTB nieder
-
Dänemark birgt mysteriöses Objekt in der Nähe von Nord Stream 2
-
Biathlon: IBU schließt aktuell Rückkehr der Russen aus
-
Haushaltsausschuss soll massive Waffenhilfe für Ukraine billigen
-
Rodler Loch über IOC: "Will nicht den Schwarzen Peter haben"
-
Kiew kündigt Pachtvertrag für pro-russische Mönche von Höhlenkloster
-
Konsumstimmung verbessert sich weiter - Dynamik aber "spürbar" verringert
-
Biden ruft Regierung in Israel zum Umsteuern im Streit um Justizreform auf
-
Voss-Tecklenburg vor Vertragsverlängerung
-
Rund 9,6 Millionen Schmuggelzigaretten in Kieler Hafen abgefangen
-
Kabinett ergänzt Musterklage - Entschädigungen werden künftig direkt ausgezahlt
-
Koalitionsbeschlüsse stoßen auf teils heftige Kritik
-
Ifo-Beschäftigungsbarometer legt zu - Arbeitsmarkt "sehr robust"
-
Bundeskabinett billigt Bundeswehr-Beteiligung an EU-Mission in Niger
-
Israels Präsident setzt Vermittlungsgespräche über Justizreform fort
-
Sozialverbände kritisieren Schweigen der Koalition zu Kindergrundsicherung
-
Grünen-Vorsitzende: Beschlüsse beim Klimaschutz nicht ausreichend
-
Europäischer Gerichtshof für Menschenrechte befasst sich erstmals mit Klimaklagen
-
Greenpeace startet Meldeportal für Verstöße gegen Mehrweg-Angebotspflicht
-
Bundesverfassungsgericht veröffentlicht Entscheidung über Kinderehen
-
Regierung beschließt Reform des Fachkräfteeinwanderungsgesetzes
-
ELF: Abstecher ins Volksparkstadion als Meilenstein
-
Grossi warnt bei Besuch von Akw Saporischschja vor "Katastrophe"
-
Bahn begrüßt Koalitionszusagen zu Investitionen in die Schiene
-
Russischer Ölgigant Rosneft verkündet Abkommen zur Steigerung der Öllieferungen nach Indien
-
Mann mit Maschinenpistolen und Munition in Auto in Nordrhein-Westfalen erwischt
-
Scholz stellt sich im Bundestag Fragen der Abgeordneten
-
IOC-Entscheidung: Ukrainische Athleten prüfen Klage
-
Taiwans Präsidentin reist in die USA und nach Zentralamerika
-
Biden kritisiert Putins Aussagen zu Atomwaffen-Stationierung als "gefährlich"
-
Biden sagt bei Gipfel 690 Millionen Dollar für Stärkung von Demokratien zu
-
Ukraine-Boykott für DOSB-Präsident Weikert "spekulativ"

L'Ukraine fait à nouveau flamber le pétrole, le Brent bondit de plus de 5%
Le prix du baril de Brent, la référence de l'or noir en Europe, a bondi de plus de 5% mardi, galvanisé par la guerre en Ukraine, les investisseurs redoutant des ruptures d'approvisionnement russe en énergie alors que les sanctions occidentales se multiplient contre Moscou.
Vers 12H20 GMT (13H20 à Paris), le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mai, dont c'est le premier jour d'utilisation comme contrat de référence, s'envolait de 5,38% à 103,25 dollars, et le WTI américain pour livraison en avril grimpait de 4,59% à 100,11 dollars.
Au sixième jour de l'invasion russe de l'Ukraine, les secouristes sur place ont fait état d'au moins dix morts dans le bombardement mardi matin du centre-ville de Kharkiv, la deuxième ville du pays, non loin de la frontière russe.
"Le monde des affaires construit une forteresse pour isoler la Russie de la communauté internationale", commente Susannah Streeter, analyste pour Hargreaves Lansdown. Les entreprises du monde entier répondent à la Russie "en gelant les transactions avec Moscou et en abandonnant des investissements financiers valant des milliards", poursuit-elle.
Le géant britannique des hydrocarbures Shell a annoncé lundi se séparer de ses parts dans plusieurs projets communs avec le groupe russe Gazprom en Russie, en raison de l'invasion russe en Ukraine, suivant l'exemple de son compatriote BP qui se désengage du géant russe Rosneft.
Le français TotalEnergies a quant à lui annoncé mardi qu'"il n'apportera plus de capital à de nouveaux projets en Russie".
Le Premier ministre Justin Trudeau a déclaré lundi que le Canada allait interdire toute importation de pétrole brut russe, "bien que celles-ci soient très limitées par rapport à l'appétit de l'Europe pour le brut et le gaz naturel russe", affirme l'analyste.
"Le fait que plusieurs banques russes aient été exclues du système international de paiement Swift rend le paiement des livraisons plus difficile", ajoute Carsten Fritsch, de Commerzbank.
"Les craintes que la Russie ne riposte en utilisant ses exportations d'énergie comme une arme maintiennent les prix du pétrole et du gaz à un niveau élevé", assure Mme Streeter.
Moscou prépare par ailleurs un décret pour enrayer l'hémorragie d'investissements étrangers qui a commencé depuis l'annonce des sanctions contre Moscou, a annoncé mardi le Premier ministre Mikhaïl Michoustine.
La Russie est le deuxième plus grand exportateur de pétrole brut au monde et représente plus de 40% des importations annuelles de gaz naturel de l'Union européenne.
"La question des sanctions directes sur les exportations de pétrole et de gaz de la Russie est une question de temps et non de probabilité", estime Neil Wilson, analyste pour Markets.com.
H.Seidel--BTB