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Trump dit que la Russie et l'Ukraine vont "démarrer immédiatement des négociations en vue d'un cessez-le-feu"
Donald Trump a affirmé lundi que la Russie et l'Ukraine allaient "démarrer immédiatement des négociations en vue d'un cessez-le-feu", après son appel avec Vladimir Poutine, qui "s'est très bien passé" selon lui.
Le président russe a qualifié de son côté la conversation d'"utile". A la presse, il a ajouté que la Russie était prête à travailler avec l'Ukraine sur un "mémorandum" concernant un "possible traité de paix" et a souligné le besoin de "trouver des compromis" chez les deux parties au conflit.
"La Russie et l'Ukraine vont démarrer immédiatement des négociations en vue d'un cessez-le-feu, et de manière plus importante, en vue d'une fin à la guerre", a assuré le président américain.
"Que le processus commence!", a écrit sur sa plateforme Truth Social le président américain, qui n'est pas parvenu cependant à obtenir le cessez-le-feu immédiat auquel il exhortait Kiev et Moscou.
Selon un haut responsable ukrainien, Donald Trump et le président ukrainien Volodymyr Zelensky se sont parlé avant l'appel avec Vladimir Poutine.
Le président américain a précisé avoir de nouveau appelé dans la foulée son homologue ukrainien ainsi que plusieurs dirigeants européens pour les tenir informés de la teneur de la conversation avec Vladimir Poutine.
Le président français Emmanuel Macron, le chancelier allemand Friedrich Merz, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, la Première ministre italienne Giorgia Meloni, et le président finlandais Alexander Stubb participaient à cet appel, a précisé Donald Trump, qui a aussi dit que le Vatican était prêt à accueillir les négociations russo-ukrainiennes.
- "Compromis" -
Les pourparlers de paix vendredi entre Ukrainiens et Russes, les premiers depuis 2022, n'ont pas abouti au cessez-le-feu réclamé par l'Ukraine et ses alliés, les attaques meurtrières se poursuivant sur le terrain. La Russie a ainsi envoyé dans la nuit de samedi à dimanche un nombre "record" de plus de 270 drones explosifs, selon Kiev.
Après cette rencontre à Istanbul, Vladimir Poutine a cependant affirmé lundi que les discussions avec l'Ukraine allaient dans "la bonne voie".
"La question est bien sûr que les parties russe et ukrainienne fassent preuve d'un maximum de volonté de paix et trouvent des compromis qui satisfassent toutes les parties", a-t-il lancé.
Donald Trump avait déclaré samedi qu'il parlerait à son homologue russe "pour mettre fin au bain de sang", disant espérer parvenir à un cessez-le-feu.
En plus de trois ans depuis le début de l'invasion russe, au moins plusieurs dizaines de milliers de personnes sont mortes, civils et militaires confondus.
Lors d'un point presse lundi avant l'appel, la porte-parole Karoline Leavitt a affirmé que le président américain était devenu "las et frustré" de l'attitude de Moscou et Kiev.
Dans son avion de retour de Rome où il s'est entretenu avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky, le vice-président américain JD Vance a également évoqué les négociations et regretté une "impasse" dont l'Ukraine et la Russie devraient sortir.
"Si la Russie n'est pas disposée à cela, nous devrons finir par dire à terme: +Ce n'est pas notre guerre+", a averti JD Vance.
- Sanctions -
Volodymyr Zelensky a dit lundi vouloir lui aussi un cessez-le-feu "complet et inconditionnel" de 30 jours, "suffisamment long" dans le temps pour permettre des discussions, et avec "la possibilité d'une prolongation".
Le président russe a repoussé jusque-là toutes les demandes de Kiev de trêve préalable à des discussions, estimant qu'une telle pause dans les combats permettrait aux forces ukrainiennes de se réarmer grâce à l'aide militaire occidentale.
Avant l'entretien entre Donald Trump et Vladimir Poutine, le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov avait dit s'attendre à un travail "laborieux" et "peut-être long" en vue d'un règlement du conflit.
De leur côté, les Européens, soutiens de Kiev, tentent de faire bloc et de faire pression sur Moscou, menaçant de sanctions "massives" si le Kremlin ne finissait pas par accepter une trêve.
Intransigeant, Vladimir Poutine a martelé dimanche vouloir "éliminer les causes" du conflit et "garantir la sécurité de l'État russe", une référence à l'exigence de Moscou que l'Ukraine soit démilitarisée et ne rejoigne pas l'Otan, que le président russe considère comme une menace existentielle pour son pays.
La Russie "tente de faire les mêmes demandes absurdes" qu'en 2022, a dénoncé lundi le chef de la diplomatie ukrainienne, Andriï Sybiga, sur les réseaux sociaux.
A l'avantage sur le front face à des troupes ukrainiennes moins nombreuses, les forces russes ont revendiqué lundi la prise de deux localités, une dans la région de Soumy (nord-est) et l'autre dans celle de Donetsk (est), épicentre des combats.
J.Horn--BTB