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Argentine: nouvel examen de passage au Parlement pour les réformes Milei édulcorées
Les députés argentins ont entamé lundi un nouvel examen du projet de réformes dérégulatrices du président ultralibéral Javier Milei, un projet considérablement édulcoré depuis le revers subi au Parlement en février par une version initiale pharaonique.
Un peu plus de 230 articles, au lieu des 664 au départ de la loi dite "omnibus", sont soumis à la Chambre basse, avec des bémols sur les privatisations d'entreprises publiques --onze prévues au lieu d"une quarantaine-- ou la flexibilisation du droit du travail, en version allégée.
Le gouvernement est optimiste mais le vote n'est pas garanti, dans un hémicycle où le parti libertarien de Milei n'est que le troisième groupe (38 députés), et malgré des accords en commissions avec des blocs de droite. Et il ne constituerait qu'une première étape avant le Sénat, où l'arithmétique est encore plus délicate pour le parti présidentiel.
Une manifestation prévue lundi aux abords du Parlement, à l'appel de mouvements sociaux et organisations de gauche radicale, faisait en outre peser un risque de tensions et de heurts, comme en février, autour du débat. Qui pourrait s'étirer jusque tard dans la nuit de mardi.
A ce jour, les réformes Milei, président depuis décembre, ont subi deux revers au Parlement : en février quand les députés ont forcé le renvoi en commissions de la loi omnibus. Puis en mars, lorsque le Sénat a rejeté un autre volet, le "Décret de nécessité et d'urgence", méga-décret publié au début de sa présidence et à ce jour partiellement en vigueur.
Mais la "thérapie choc" d'austérité promise est, elle, belle et bien en place, entre dévaluation brutale du peso (+de 50%), libération des prix et loyers, fin des subventions aux transports, à l'énergie, gel des chantiers publics, etc. Asséchant pouvoir d'achat, et de plus en plus l'activité économique.
Que les parlementaires "jettent la loi (omnibus), qu'ils jettent tout, nous allons réussir quand même malgré la politique", a lancé Milei il y a quelques jours, en guise de défi et pour dédramatiser d'avance un éventuel nouveau revers législatif.
Dans sa première intervention publique depuis la défaite de son camp péroniste (centre-gauche) à la présidentielle, l'ex-présidente (2007-2015) Cristina Kirchner a ce week-end accusé Milei d'infliger un "sacrifice inutile" aux Argentins au nom de l'équilibre budgétaire. "A quoi ça sert, si les gens crèvent de faim, perdent leur emploi et n'y arrivent pas en fin de mois ?", a-t-elle demandé.
I.Meyer--BTB