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"Accord de principe" pour une rencontre Trump-Poutine "dans les prochains jours", dit le Kremlin
Le Kremlin a annoncé jeudi un "accord de principe" pour une rencontre entre Vladimir Poutine et Donald Trump "dans les prochains jours", tout en écartant dans l'immédiat un sommet à trois avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky, qui insiste pour négocier directement avec son homologue russe.
M. Poutine a estimé que les "conditions" n'étaient pas réunies pour un tête-à-tête avec M. Zelensky. Moscou avait précédemment fait savoir qu'un tel scénario n'avait de sens qu'en phase finale des négociations de paix.
Donald Trump avait lui aussi évoqué mercredi une possible réunion "très bientôt" avec le chef de l'Etat russe, ce qui constituerait une première depuis son retour à la Maison Blanche en janvier.
Pour sa part, M. Zelensky a réitéré jeudi son souhait d'un sommet à trois : "Il est légitime que l'Ukraine participe aux négociations. (...) Le format des réunions, des rencontres des dirigeants, est donc, en particulier, un format tripartite", a-t-il plaidé dans son allocution quotidienne.
- "Accord de principe" -
Le président américain avait repris contact avec M. Poutine dans l'espoir de mettre rapidement fin à l'offensive russe en Ukraine déclenchée en 2022 mais s'est montré de plus en plus frustré ces dernières semaines. Il a lancé à la Russie un ultimatum qui expire vendredi, la sommant de trouver un accord avec Kiev sous peine de sanctions sévères.
"Sur la suggestion de la partie américaine, un accord de principe a été conclu pour organiser un sommet bilatéral dans les prochains jours", a assuré jeudi le conseiller diplomatique du Kremlin, Iouri Ouchakov.
Selon lui, cette rencontre pourrait se dérouler "la semaine prochaine".
M. Poutine, aux côtés de son homologue émirati, Mohammed ben Zayed, qu'il recevait jeudi au Kremlin, a quant à lui affirmé que les Emirats arabes unis étaient l'un des endroits envisagés pour l'accueillir.
Un responsable américain à la Maison Blanche, s'exprimant sous couvert d'anonymat, a, de son côté, affirmé que le lieu de la réunion n'avait pas encore été convenu entre Moscou et Washington et que celle-ci pourrait intervenir la semaine prochaine.
- Pas de rencontre avec Zelensky -
La dernière entrevue en chair et en os entre Donald Trump et Vladimir Poutine a eu lieu en 2019 en marge d'un sommet du G20 au Japon mais c'est surtout leur sommet de juillet 2018 à Helsinki qui est resté dans les mémoires.
Concernant une rencontre Poutine-Zelensky, le chef de l'Etat russe a dit jeudi "n'avoir rien contre" si "certaines conditions" sont réunies. "Or, malheureusement, nous sommes encore loin de ces conditions", a-t-il affirmé.
M. Ouchakov a par ailleurs souligné que Moscou n'envisageait pas pour l'instant de sommet rassemblant à la fois Donald Trump, Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky.
Le chef de l'Etat ukrainien s'était ensuite entretenu, mercredi soir, au téléphone avec Donald Trump, une conversation à laquelle avaient pris part plusieurs dirigeants européens.
M. Zelensky a demandé que les Européens soient inclus dans les négociations de paix sur l'Ukraine, desquelles ils ont jusqu'à présent été tenus à l'écart malgré les tentatives de Paris, Berlin et Londres d'influer sur elles.
- Menace de sanctions -
Agacé par le blocage des pourparlers entre Moscou et Kiev, le président américain a donné à la Russie jusqu'à ce vendredi pour cesser les hostilités, sous peine de nouvelles sanctions. Un ultimatum dont on ignore pour le moment s'il est toujours d'actualité compte tenu de l'annonce d'un prochain sommet.
Les pays qui commercent avec la Russie sont notamment visés, comme l'Inde et la Chine. M. Trump a déjà dit porter à 50% au lieu de 25% les droits de douane sur les importations en provenance d'Inde, en raison des achats indiens de pétrole russe.
Vladimir Poutine a à cet égard reçu jeudi le conseiller à la sécurité nationale du Premier ministre indien Narendra Modi, Ajit Doval.
M. Poutine s'est également entretenu jeudi au téléphone avec son homologue sud-africain, Cyril Ramaphosa, à la veille de l'entrée en vigueur de droits de douane de 30% sur les exportations sud-africaines vers les États-Unis.
Selon le Kremlin, le président russe a informé M. Ramaphosa "des principaux résultats" de son entrevue mercredi avec Steve Witkoff.
Pour l'heure, rien n'indique que la Russie est revenue sur ses conditions pour mettre fin à son assaut en Ukraine.
Elle réclame que ce pays lui cède quatre régions partiellement occupées (celles de Donetsk, Lougansk, Zaporijjia et Kherson), en plus de la Crimée annexée en 2014, et qu'elle renonce aux livraisons d'armes occidentales et à toute adhésion à l'Otan. Des exigences inacceptables pour Kiev.
N.Fournier--BTB