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Traité sur la haute mer: les ONG inquiètes de la "lenteur" des négociations
Des ONG de défense de l'environnement se sont inquiétées vendredi de la "lenteur" des négociations censées aboutir d'ici la fin de la semaine prochaine à un traité destiné à protéger la haute mer, capitale pour l'humanité.
"Ça va lentement", a commenté Liz Karan, de l'ONG Pew Charitable Trusts. "Le temps presse (...). Il est temps que les déclarations ambitieuses et les platitudes deviennent des actes", a-t-elle dit à l'AFP.
Après des années de discussions, des reports dus au Covid-19 et un échec à accoucher d'un accord lors la 4e session en mars --qui devait être la dernière--, les Etats membres de l'ONU sont réunis à New York depuis lundi et jusqu'au 26 août pour une 5e et théoriquement ultime session.
Cette protection de la haute mer passe par quatre piliers: la création d'aires marines protégées, les ressources génétiques marines et le partage de leurs avantages, la réalisation d'études d'impact environnemental ainsi que le renforcement des capacités et les transferts de technologies notamment vers les pays en développement.
Alors que la bonne santé des océans est cruciale pour l'avenir de l'humanité, ce traité vise spécifiquement la haute mer, soit près de la moitié de la planète, sous la juridiction d'aucun Etat.
"Les délégués se comportent comme si nous avions encore dix ans pour discuter. Ce n'est pas le cas. Le temps presse pour les océans", a dénoncé dans un communiqué Arlo Hemphill, de Greenpeace.
L'ONG estime notamment que si le texte n'est pas finalisé cette année, il sera "impossible" de protéger 30% des océans d'ici 2030, objectif défendu par de nombreux Etats dans le cadre d'autres négociations en cours sur la biodiversité mondiale.
Face aux critiques des ONG, plusieurs sources diplomatiques ont assuré de l'avancée des discussions, pour l'instant de façon informelle.
"Il reste quelques défis" à relever pour espérer un accord d'ici une semaine, a toutefois souligné une de ces sources.
Un des points de tension concerne l'obligation de procéder à des études d'impact environnemental des activités en haute mer. Certaines délégations plaident pour que la future Conférence des parties, donc la communauté internationale, soit en charge de ce processus, tandis que certains Etats veulent garder le contrôle.
Autre question sensible, la répartition des possibles bénéfices issus de l'exploitation des ressources génétiques de la haute mer, où industries pharmaceutiques, chimiques ou cosmétiques espèrent découvrir des molécules miraculeuses.
Les pays en développement ne veulent pas passer à côté de retombées issues de recherches qu'ils n'ont pas les moyens de mener.
Et cette semaine, ils ont été "inflexibles", réclamant notamment un abandon des droits de propriété intellectuelle, a indiqué à l'AFP une autre source diplomatique.
K.Thomson--BTB