- L'Est de l'Europe face aux inondations, quatre morts en Roumanie
- F1: Leclerc partira en pole du GP d'Azerbaïdjan, Verstappen 6e
- L'Ouganda enterre et pleure l'athlète Rebecca Cheptegei, victime d'un féminicide
- JO de Paris: une ultime fête sur les Champs-Elysées pour célébrer l'équipe de France
- Aysenur Ezgi Eygi, tuée en Cisjordanie, inhumée en martyre en Turquie
- Abbé Pierre: un silence nourri par son statut d'icône?
- Les Maldives, à court de liquidités, disent ne pas avoir besoin d'un plan de sauvetage du FMI
- Ouganda: début des funérailles de l'athlète olympique Rebecca Cheptegei, victime d'un féminicide
- Missiles à longue portée contre la Russie: Washington et Londres temporisent
- A69: un dernier bastion d'"écureuils" sur le chemin de la future autoroute
- Le Brésil n'en finit plus de lutter contre les incendies
- Afrique du Sud: la pénurie de logements au Cap évince les pauvres de la ville
- Attention aux "deepfake" de médecins connus, au service d'arnaques commerciales
- En Tunisie, des femmes pêcheuses combattent les inégalités et le changement climatique
- Un libraire tourne la page à Shanghai pour un nouveau chapitre à Washington
- L'acier chinois bon marché signe l'arrêt de mort de la plus grande aciérie du Chili
- Pérou: Fujimori est mort "sans demander pardon", déplorent les familles de victimes
- Funérailles nationales au Pérou pour l'ex-président controversé Fujimori
- La Turquie enterre sa "fille" tuée en Cisjordanie
- L'Ouganda enterre l'athlète olympique Rebecca Cheptegei, victime d'un féminicide sauvage
- JO de Paris: une dernière fête sur les Champs-Elysées pour célébrer l'équipe de France
- La junte birmane demande de l'aide étrangère après les inondations meurtrières
- Grève chez Boeing: reprise des négociations la semaine prochaine avec une médiation fédérale
- Dans l'Ohio, les migrants haïtiens craignent un pic de violences racistes
- Le YouTubeur Inoxtag dévoile les coulisses de son ascension de l'Everest
- Ligue 1: Inefficace, Lille perd à Saint-Etienne, qui débloque son compteur
- Joie et larmes pour le retour "à la maison" de prisonniers de guerre ukrainiens
- Dans Rafah dévastée, l'armée israélienne veut employer "tous les moyens" pour ramener les otages
- Avec "plus de temps", le vaisseau de Boeing aurait pu ramener ses astronautes, juge l'un d'eux
- Respiration par l'anus et placebos douloureux: les recherches les plus farfelues récompensées
- De retour d'Asie, le pape accuse Trump et Harris d'être "contre la vie"
- Athlétisme: Zhoya, victoire de prestige et fin de saison convaincante
- Athlétisme: Duplantis et Mahuchikh finissent invaincus l'été olympique
- L'Unrwa annonce la mort en Cisjordanie d'un de ses employés, tué dans un raid israélien
- Washington dénonce les activités déstabilisatrices dans le monde du média russe RT
- Wall Street termine en hausse, rassurée sur l'économie et l'inflation
- MMA: "Je suis le même combattant", affirme Francis Ngannou
- L'ONU dénonce le calvaire des femmes et filles "dépouillées" au Soudan
- Le Soudan du Sud reporte de deux ans les élections marquant la fin de la transition
- "Tentative de coup d'Etat" en RDC: 37 condamnés à mort, dont 3 Américains
- Condamné pour conduite en état d'ivresse, Justin Timberlake fait amende honorable
- Trump envenime ses diatribes antimigrants dans une campagne sous haute tension
- Crise avec l'Espagne : le Venezuela refuse toute "ingérence" de Madrid
- Frappé par la sécheresse, le Zimbabwe va à son tour abattre 200 éléphants
- Parade et concert géant: les JO de Paris s'offrent une "after" sur les Champs-Elysées
- En crise, Deutsche Bahn cède sa pépite logistique Schenker pour renflouer le rail allemand
- Poussée de tension sur l'utilisation par Kiev de missiles à longue portée occidentaux
- Procès de la "tentative de coup d'Etat" en RDC: 37 condamnés à la peine de mort
- Nigeria: les inondations dans le nord-est font craindre 1,1 million de déplacés
- La production de Boeing en partie paralysée par sa première grève inédite depuis 2008
F1: le Grand Prix de France passe à la trappe en 2023
Il n'y aura pas de F1 en France en 2023. Cette nouvelle redoutée du côté du Castellet a été confirmée jeudi en marge du Grand Prix de Belgique, autre épreuve historique également menacée de disparition la saison prochaine.
La France, tout comme la Belgique et Monaco, n'avait pas encore renouvelé son partenariat avec le championnat du monde pour 2023.
Si les deux autres Grands Prix cités ont encore un espoir de rester au calendrier, la France dit donc au revoir à la F1, a indiqué la Formule 1 jeudi, confirmant une déclaration de son patron, Stefano Domenicali, parue dans L'Equipe.
A l'entendre, il ne s'agit pas forcément d'un adieu, plutôt d'un au revoir.
Mercredi, le dirigeant italien avait affirmé en conférence de presse que "les discussions sont très, très ouvertes pour un grand avenir et une possibilité, non pas l'année prochaine, mais à l'avenir" via "une sorte de rotation qui permettrait à chacun de faire partie du calendrier".
"Il y a des sites qui sont en train de discuter entre eux pour nous soumettre une proposition dans les prochains mois. Cela ne fera pas partie du calendrier 2023. Nous parlons de 2024 ou de 2025 maximum pour commencer avec cette approche", a ajouté le PDG de la F1.
- L'histoire ne suffit pas -
Même si les signes avant-coureurs ne laissaient que peu de chance à la France de conserver sa place au calendrier, le coup est rude pour les fans dans un pays à la tradition de sport auto très forte avec encore deux pilotes sur 20, une écurie (Alpine) sur dix et un motoriste (Renault) sur quatre en F1.
Voilà donc la France au placard, comme l'Allemagne (64 éditions) qui n'a plus de Grand Prix depuis 2019.
Face à l'intérêt croissant pour la F1 et aux nouveaux standards financiers que représentent les nouveaux Grands Prix, "l'histoire ne suffit pas", a expliqué Domenicali, selon qui "la présence (des Grands Prix dits historiques, ndlr) ne peut pas être considérée comme acquise".
La F1, qui s'exporte désormais en Arabie saoudite, à Miami et l'an prochain à Las Vegas voire en Afrique du Sud, cherche à "équilibrer" ses courses entre les différents continents, entre nouveaux venus et Grands Prix "historiques".
Cette F1 nouvelle génération, promue par le groupe américain Liberty Media, détenteur des droits commerciaux depuis 2017 et redevenue "hype" via la série Netflix à succès "Drive to Survive", veut se mondialiser avec à la clé des contrats plus garnis.
- "Trouver le bon équilibre" -
"Nous voulons trouver le bon équilibre, un tiers en Europe, un tiers en Extrême-Orient, et l'autre en Amérique/Moyen-Orient. Bien sûr, +nous parlons d'un secteur où les investissements et la contribution financière sont très importants, mais nous avons toujours dit que les courses traditionnelles, dont nous savons qu'elles ne peuvent pas apporter l'argent que les autres apportent, ont tout notre respect", a souligné Domenicali mercredi.
Revenu au calendrier en 2018, dix ans après la dernière édition à Magny-Cours, près de Nevers au centre du pays, le GP de France est le sixième Grand Prix le plus disputé de l'histoire de la F1 depuis 1950.
Le directeur du Grand Prix de France, Éric Boullier, expliquait à l'AFP en juillet que l'événement n'était "pas mort", et évoquait la solution d'une rotation entre différents circuits, pour ne pas disparaître totalement.
"On doit s'inscrire dans la possibilité future qu'il y ait peut-être 30 Grands Prix pour 25 dates", relevait-il.
Mercredi, le patron de la F1 a assuré que les futurs calendriers de la saison de F1 compteraient "23 ou 24 courses".
E.Schubert--BTB