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Bischof Overbeck räumt Fehler im Umgang mit Hengsbach-Vorwürfen ein
Der Essener Bischof Franz-Josef Overbeck hat eigene Versäumnisse im Umgang mit Missbrauchsvorwürfen gegen Kardinal Franz Hengsbach eingeräumt - mögliche persönliche Konsequenzen plant er aber nicht. In einem am Freitag veröffentlichten Brief an die Gemeinden seines Bistums schrieb Overbeck, er habe gelernt und wolle nun weiter vertiefen, "was für uns alle in unserer Kirche gilt - die Perspektive der von sexueller Gewalt betroffenen Menschen muss im Mittelpunkt stehen und uns in unserem Handeln leiten".
Bischof Overbeck würde als persönliche Konsequenz der Weg offen stehen, Papst Franziskus um seine Entlassung zu bitten. Allerdings ignorierte Franziskus in der Vergangenheit wiederholt Rücktrittsgesuche deutscher Bischöfe im Zusammenhang mit dem Missbrauchsskandal.
Die Bistümer Essen und Paderborn hatten am Dienstag öffentlich gemacht, dass kirchenintern seit Jahren Missbrauchsvorwürfe gegen den Gründer des Ruhrbistums Essen, Franz Hengsbach, und dessen Bruder Paul bekannt sind. Erst neue Vorwürfe führten demnach zu der Entscheidung, dies öffentlich zu machen.
Overbeck räumte ein, 2011 von einem ersten Missbrauchsvorwurf gegen Hengsbach erfahren zu haben. Nach der Rückmeldung der im Vatikan ansässigen Kongregation für die Glaubenslehre, dass diese die Vorwürfe für nicht plausibel halte, habe er nichts weiter unternommen, weil er den Fall als bearbeitet angesehen habe. Auch das Forschungsteam, dass die im März in Essen vorgestellte Missbrauchsstudie erarbeitete, habe er nicht auf den Vorgang aufmerksam gemacht.
"Im Ergebnis muss ich nun eingestehen, dass die Vorwürfe im Jahr 2011 falsch eingeschätzt wurden und den Betroffenen Unrecht geschehen ist", schrieb Overbeck. Mit dem Wissen um einem weiteren Missbrauchsvorwurf, der im März dieses Jahres intensive Recherchen ausgelöst habe, "ist der Vorwurf aus dem Jahr 2011 aus gutem Grund vollkommen neu zu bewerten". Er betrachte es "aus heutiger Sicht als persönlichen Fehler, nach der Mitteilung über die Bewertung der Glaubenskongregation letztlich die damals vorliegenden Beschuldigungen als erledigt anzusehen".
Er denke heute viel darüber nach, "warum ich bei all meinen damaligen Bemühungen, Missbrauch aufzuklären, zu solchen Fehleinschätzungen gekommen bin, die dann auch zu Fehlern geführt haben", schreibt Overbeck dem Bistum zufolge weiter in dem Brief. Unter anderem erklärt Overbeck dies damit, dass er nicht habe glauben können, "dass ein geschätzter Kardinal" anderen Menschen furchtbares Leid zugefügt haben könnte.
G.Schulte--BTB