- JO-2024: "J'ai hâte de ressentir la pression", lance Maxime Grousset
- Tennis: Alcaraz renonce au Masters 1000 de Rome, toujours touché au bras droit
- Mobilisation pro-Gaza: Sciences Po Paris évacué, d'autres sites occupés en région
- Le Hamas dit étudier avec un "esprit positif" une offre de trêve à Gaza
- La mobilisation étudiante pour Gaza s'étend, Biden appelle au retour à l'ordre
- JO-2024: Airbnb s'engage pour prévenir la prostitution dans ses hébergements
- La Chine a lancé une sonde pour collecter des échantillons sur la face cachée de la Lune
- Portés par les élections locales, les travaillistes britanniques appellent à des législatives
- F1: Red Bull encore favori à Miami, malgré l'ombre d'Adrien Newey
- NBA: les Knicks et les Pacers se donnent rendez-vous en demi-finale de la Conférence Est
- Pas de hausse globale du risque de cancer pour les enfants nés sous PMA, selon une vaste étude
- Dans un berceau de la chimie du sud de la France, les "polluants éternels" inquiètent
- La Chine lance une sonde pour collecter des échantillons sur la face cachée de la Lune
- Biden appelle au retour à l'ordre face à la mobilisation étudiante pour Gaza
- Pressions politiques sur les médias et propagande accrue, s'inquiète RSF
- Le Hamas dit étudier avec un "esprit positif" l'offre de trêve à Gaza
- Dans une économie morose, le luxe fait les yeux doux aux clients chinois
- Le gouvernement présente sa loi logement controversée
- Le sud du Brésil sous les eaux, 29 morts et 60 disparus
- Tennis: à Madrid, Swiatek et Sabalenka rééditent la finale 2023
- Européennes: Bardella et Hayer s'écharpent sur l'Ukraine, l'immigration et la sécurité
- Le prix mondial de la liberté de la presse de l'Unesco pour les journalistes palestiniens de Gaza
- Pluies diluviennes dans le sud du Brésil: 13 morts, Lula sur place
- Au procès Trump, la défense tente de discréditer l'avocat de Stormy Daniels
- Les iPhone d'Apple souffrent, mais ses services décollent
- La Turquie suspend ses relations commerciales avec Israël
- Ligue Europa: Pour l'OM, tout est encore possible
- Universal va autoriser de nouveau sa musique sur TikTok après un accord de licence
- Ligue Europa: le Bayer Leverkusen assomme la Roma et entrevoit la finale
- Plaidoiries finales dans le procès des Etats-Unis contre Google et son puissant moteur de recherche
- Wall Street termine en hausse, encouragée par la Fed
- Hand: Nikola Karabatic, l'adieu à l'Europe
- Hand/C1: le PSG et Nikola Karabatic quittent l'Europe
- Des villageois thaïlandais défilent avec un chat de dessin animé pour faire venir la pluie
- Guerres civiles au Liberia: le président ordonne la création d'un bureau chargé de mettre en place un tribunal
- Européennes: pour leur premier duel, Bardella et Hayer s'écharpent sur la sécurité
- La tête d'une Néandertalienne reconstituée par des chercheurs britanniques
- Première observation d'utilisation d'un pansement par un primate en liberté
- Géorgie: des dizaines de milliers de manifestants de nouveau dans la rue
- "L'ordre doit prévaloir", tranche Biden face à la mobilisation étudiante pour Gaza
- Au procès Trump, nouveau bras de fer sur ses attaques contre témoins et jurés
- Tour d'Italie: Pogacar au pied de son plus grand défi
- Géorgie: l'ONU demande le "retrait" du projet de loi sur "l'influence étrangère"
- Guillaume Meurice suspendu par Radio France après avoir répété ses propos sur Netanyahu
- Ecosse : John Swinney candidat favori pour devenir Premier ministre
- Le Kenya et la Tanzanie, frappés par des pluies diluviennes, se préparent à un cyclone
- Trump ne s'engage pas à reconnaître les résultats de la présidentielle de 2024
- Royaume-Uni: blocages pour contrecarrer l'expulsion de migrants vers le Rwanda
- France: Lucas Hernandez (PSG) va manquer l'Euro après sa rupture du ligament croisé
- "L'ordre doit prévaloir", affirme Biden face aux mobilisations pour Gaza dans les universités
Unionspolitiker kritisieren Vorgehen der Bundestagspräsidentin bei Wahlreform
Im Streit um die Wahlrechtsreform nimmt die Union Bundestagspräsidentin Bärbel Bas (SPD) ins Visier. Der Erste Parlamentarische Geschäftsführer der Unionsfraktion, Thorsten Frei (CDU), bezeichnete es in der "Süddeutschen Zeitung" vom Montag als "hochgradig irritierend", dass die SPD-Politikerin in dem Streit als Parlamentspräsidentin nicht eine vermittelnde Rolle eingenommen habe. Zudem kritisierte er, dass Bas nach Verabschiedung der Reform noch weitere Änderungen am Wahlrecht gefordert hatte. Aus der CSU kam ähnliche Kritik.
Im Streit um die Reform wäre "ihre vermittelnde Rolle wirklich gefragt gewesen", sagte Frei mit Blick auf die Bundestagspräsidentin. Zuerst lasse Bas "es stillschweigend zu, dass die Ampelkoalition unter lautstarkem Protest der Opposition eine Wahlreform durchdrückt, die mit Sicherheit vor dem Bundesverfassungsgericht landet", sagte er. Und dann lege "sie nicht einmal 24 Stunden nach Verabschiedung des Wahlgesetzes auch noch Vorschläge für eine weitere Reform auf den Tisch, die bereits zwei Mal von Landesverfassungsgerichten wieder einkassiert wurden".
Nach dem Beschluss der Wahlrechtsreform im Bundestag hatte Bas noch weitere Änderungen gefordert - etwa eine Regelung zur Parität von Mann und Frau im Bundestag, eine Senkung des Wahlalters auf 16 Jahre und eine Verlängerung der Legislaturperiode von vier auf fünf Jahre.
Auch der rechtspolitische Sprecher der CSU-Landesgruppe, Volker Ullrich, wies die Vorschläge von Bas scharf zurück. "Wenn Bärbel Bas jetzt einen Tag nach der Wahlrechtsreform mit neuen Vorschlägen kommt, von denen zumindest die Forderung nach verpflichtender Parität erkennbar gegen unsere Verfassung verstößt, so ist das irritierend", sagte Ullrich der "Bild". "Der politischen Kultur in Deutschland wird somit Schaden zugefügt."
Die am Freitag mit den Stimmen der Ampel-Koalition beschlossene Wahlrechtsreform soll den Bundestag von derzeit 736 auf 630 Abgeordnete verkleinern. Dazu werden sogenannte Überhang- und Ausgleichsmandate abgeschafft, die den Bundestag bisher über die Regelgröße hinaus aufblähen. Die Zeitstimme erhält gleichzeitig mehr Gewicht. Dies kann dazu führen, dass Wahlkreisgewinner nicht ins Parlament einziehen.
Gekippt wurde zudem die Grundmandatsklausel. Diese lässt eine Partei auch mit weniger als fünf Prozent der Zweitstimmen in Fraktionsstärke ins Parlament einziehen, sofern sie mindestens drei Direktmandate gewinnt. Mit der Reform muss sich noch der Bundesrat befassen. Die Länderkammer kann das Vorhaben aber nicht blockieren.
R.Adler--BTB