-
Biathlon: deuxième en sprint, Perrot monte en puissance à Hochfilzen
-
Les petits colis chinois entrant dans l'UE seront taxés 3 euros à partir de juillet 2026
-
Ski: Etincelante à St-Moritz, Vonn renoue avec la victoire après 7 ans d'attente
-
Nucléaire: feu vert pour l'exploitation de l'EPR de Flamanville à pleine puissance (ASNR)
-
"La paix au milieu du chaos": un enseignant thaïlandais transforme les bunkers en fresques
-
Mohammed Ben Sulayem réélu à la tête de la Fédération internationale de l'automobile (FIA)
-
Darmanin "souhaite" que le protoxyde d'azote soit classé comme stupéfiant
-
Litige entre Google et sa filiale russe: une saisie conservatoire de 110 millions d'euros réalisée en France
-
Avec la descente de St-Moritz, Vonn remporte sa première victoire depuis sept ans
-
Au Kazakhstan, l'essor des "Nouvelles routes de la soie" chinoises
-
Inde: une statue de 21 mètres à la gloire de Messi
-
L'humour plus important que jamais pour la science, pour le créateur des Ig-Nobel
-
Dermatose: extension de la vaccination en Occitanie, sur fond de colère agricole
-
Hong Kong: verdict lundi pour l'ex-magnat prodémocratie Jimmy Lai, accusé d'atteinte à la sécurité nationale
-
Le gendre de Donald Trump, pivot de l'équipe présidentielle malgré les questions
-
Procès Péchier: l'anesthésiste fixé vendredi sur la peine requise à son encontre
-
Transports: la RATP se cherche un ou une présidente
-
Attaque informatique au ministère de l'Intérieur: "pas de trace de compromission grave", selon Nuñez
-
Un message du roi Charles III sur le cancer sera diffusé vendredi lors d'une émission
-
Australie: la plateforme Reddit attaque en justice l'interdiction des réseaux sociaux aux moins de 16 ans
-
Satellites: Eutelsat finalise son augmentation de capital et veut grandir encore
-
Brandt: le gouvernement "ne laisse pas tomber" et veut "un nouveau projet"
-
A Rio de Janeiro, des palmiers fleurissent pour la première fois avant de mourir
-
Dermatose: les gendarmes contrôlent la ferme d'Ariège, abattage du troupeau à venir
-
Tennis de table: Alexis Lebrun dominé par le N.1 mondial Wang Chuqin
-
Île-de-France: baisse des émissions de gaz à effet de serre de 35% en 12 ans, selon Airparif
-
Thaïlande: dissolution du Parlement en plein conflit frontalier avec le Cambodge
-
Mondial de hand: test d'effort contre l'Allemagne pour une finale
-
Ligue 1: Marseille-Monaco au sommet, Lens-Nice chacun sur sa pente
-
NBA: les Clippers tombent face aux Rockets, Denver facile
-
Hong Kong: l'ex-magnat prodémocratie Jimmy Lai connaîtra son verdict lundi
-
Les Etats-Unis prennent de nouvelles sanctions contre le Venezuela qui dénonce un acte de "piraterie"
-
Jeu de l'année, record de trophées... la folle soirée du jeu français "Clair Obscur" aux Game Awards
-
Présidentielle au Chili: le candidat d'extrême droite promet un retour à "l'ordre et la sécurité"
-
Maduro accuse les Etats-Unis de "piraterie" contre le Venezuela
-
Taxation des petits colis chinois: l'UE passe aux travaux pratiques
-
Zelensky, un chef de guerre sous pression
-
Prêt-à-porter: décision vendredi sur la reprise d'IKKS
-
Procès Péchier: l'anesthésiste fixé vendredi sur la peine demandée à son encontre
-
Pourparlers sur l'Ukraine: Trump "extrêmement frustré" par Kiev et Moscou
-
Cryptomonnaies: 15 ans de prison pour Do Kwon, à l'origine d'une faillite monumentale
-
Dermatose: les forces de l'ordre prennent le contrôle d'une ferme ariégeoise après des affrontements
-
Disney s'entend avec OpenAI sur l'utilisation de ses contenus par l'IA, les professionnels protestent
-
Dermatose: l'opposition à un abattage en Ariège dérive en affrontements
-
Ligue Europa: Lyon assure au moins les barrages
-
Enquête ouverte sur des menaces visant les serveurs de messagerie du ministère de l'Intérieur
-
Wall Street: nouveaux records du Dow Jones et du S&P 500, le Nasdaq recule
-
Opposition à un abattage en Ariège: des heurts entre manifestants et gendarmes
-
Washington s'impatiente et demande toujours de grandes concessions à l'Ukraine
-
"Grand âge" : un plan, de nombreuses attentes et une inconnue
Nouvelles sanctions américaines contre le Venezuela
De nouvelles sanctions contre des compagnies maritimes opérant au Venezuela et des proches du président Nicolas Maduro ont été imposées par Washington, après la saisie spectaculaire d'un pétrolier par les Etats-Unis, dénoncée par Caracas comme de la "piraterie".
Selon des responsables américains, cités par la chaîne NBC News, le pétolier fait route vendredi vers le port de Galveston au Texas. L'équipage du pétrolier sera libéré une fois arrivé à destination.
Les sanctions contre "le régime illégitime de Nicolas Maduro au Venezuela" visent trois neveux de l'épouse du président que Washington accuse d'être des narcotrafiquants, un homme d'affaires panaméen soupçonné d'avoir facilité les transactions pétrolières de Caracas, et six compagnies maritimes accusées d'avoir transporté du pétrole vénézuélien, a annoncé le Trésor américain dans un communiqué.
Ces personnes et entreprises se voient interdire toute transaction avec une société ou individu américains et leurs avoirs aux Etats-Unis sont gelés.
L'administration du président américain Donald Trump accuse Nicolas Maduro d'être à la tête d'un vaste réseau de narcotrafic, ce que l'intéressé dément catégoriquement, affirmant que Washington cherche à le renverser pour s'emparer du pétrole de son pays.
L'annonce de ces nouvelles sanctions intervient après la saisie par les forces américaines mercredi en mer des Caraïbes d'un pétrolier, le Skipper, qui selon des responsables américains transportait du pétrole en provenance du Venezuela et d'Iran à destination de Cuba.
"Ils ont enlevé les membres d'équipage, volé le navire et inauguré une nouvelle ère, l'ère de la piraterie navale criminelle dans les Caraïbes", a protesté jeudi soir M. Maduro à la télévision publique.
Résumant la stratégie américaine, la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt, a déclaré que le président Donald Trump n'entendait pas "rester les bras croisés à regarder des navires sanctionnés naviguer sur les mers avec du pétrole provenant du marché noir, dont les profits alimenteront le narcoterrorisme de régimes voyous et illégitimes".
Elle a précisé les Etats-Unis avaient "l'intention d'en saisir le pétrole", reconnaissant cependant que cela posait des questions légales.
Les Etats-Unis ont l'intention de saisir davantage de navires pétroliers sous sanction au large des côtes vénézuéliennes, ont indiqué par ailleurs des responsables cités par le Washington Post.
Soumis à un embargo depuis 2019, Caracas est obligé d'écouler sa production pétrolière sur le marché noir à des prix nettement plus bas, à destination en particulier de la Chine. La saisie du pétrolier pourrait peser sur ces exportations, en dissuadant les acheteurs potentiels.
- Soutien de Moscou -
M. Maduro a indiqué que Caracas allait lancer "les actions juridiques et diplomatiques appropriées". Sans dire que quelle nationalité était le navire, il a précisé qu'il transportait "vers les marchés internationaux 1.900.000 barils de pétrole — pétrole qui a été payé au Venezuela, car quiconque importe du pétrole le paie d’abord".
La ministre américaine de la Justice, Pam Bondi, a publié sur son compte X une vidéo de 45 secondes montrant l'assaut de soldats américains armés débarquant sur le pont d'un navire depuis un hélicoptère.
Selon les données du site Vesselfinder vendredi à 05H30 GMT, le Skipper se trouvait dans les eaux internationales au sud-est de l'archipel français de la Guadeloupe, et se dirigeait vers le nord.
Le navire en question a été sanctionné par le Trésor américain en 2022 pour des liens présumés avec le Corps des gardiens de la révolution islamique iranien et le Hezbollah.
Lors d'un échange téléphonique avec M. Maduro, le président russe, Vladimir Poutine, lui "a exprimé sa solidarité" et a "confirmé son soutien" à sa politique "visant à protéger ses intérêts nationaux et sa souveraineté dans un contexte de pressions extérieures croissantes", a expliqué le Kremlin dans un communiqué.
Aux Etats-Unis, l'opposition démocrate s'est inquiétée de cette escalade et des intentions réelles du président Trump.
Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva a affirmé jeudi avoir mis en garde son homologue américain lors d'un appel téléphonique le 2 décembre.
"Je lui ai dit: Trump, nous ne voulons pas d'une guerre en Amérique latine", a déclaré Lula, selon qui le président américain a alors répondu: "mais moi j'ai plus d'armes, plus de bateaux, plus de bombes".
O.Bulka--BTB