-
L1: Lens finit 2025 en tête, l'OM, l'OL et le Losc terminent bien
-
L1: Dans la souffrance, l'OM bat Monaco et s'accroche au podium
-
Dermatose: les agriculteurs du Sud-Ouest remontés, à la veille d'une visite de Genevard
-
Chili: l'extrême droite aux portes de la présidence 35 ans après Pinochet
-
Hand: les Norvégiennes reines incontestées du monde
-
Champions Cup: rebond pour Castres et Toulon, débâcles pour Pau et Bayonne
-
Champions Cup: rebond pour Castres et Toulon, débâcle pour Pau et pas Bayonne
-
Allemagne: le Bayern accroché pour la première fois à domicile par la lanterne rouge Mayence
-
Ligue 1: Lens, vainqueur de Nice (2-0), passera Noël en tête
-
Dermatose: les actions se multiplient dans le Sud-Ouest, à la veille d'une visite de Genevard
-
Mondial de hand: la saveur particulière d'un bronze qui lance une nouvelle ère
-
Biathlon: les Français titillent les Norvégiens avant de craquer
-
Le Chili aux urnes, l'extrême droite favorite de la présidentielle
-
Angleterre: Arsenal sous surveillance, jour de fête à Sunderland
-
Ligue 1: Sulc délivre Lyon face au Havre
-
Hand: les Bleues repartent en bronze du Mondial
-
Sydney : scènes de désolation sur la plage de Bondi après la fusillade meurtrière visant une fête juive
-
Etats-Unis: une personne arrêtée après les tirs qui ont fait deux morts à l'université Brown
-
L'EPR de Flamanville atteint 100% de puissance nucléaire pour la première fois
-
Ski: le Norvégien Haugan remporte le slalom de Val d'Isère, journée compliquée pour les Bleus
-
Le président ukrainien à Berlin pour des pourparlers avec Américains et Européens
-
Allemagne: les start-up de la défense réclament un virage technologique
-
Dermatose: la pression monte dans le Sud-Ouest, à la veille d'une visite de Genevard
-
Super-G de Saint-Moritz: Miradoli deuxième, sur les talons de Robinson
-
Le Chili élit son président, l'extrême droite donnée favorite
-
Une attaque contre une fête juive fait 11 morts à Sydney
-
Ski: Romane Miradoli deuxième du super-G de Saint-Moritz derrière Alice Robinson
-
Le plus ancien parti prodémocratie de Hong Kong annonce sa dissolution
-
Neuf morts dans une attaque par balles sur la plage de Bondi à Sydney
-
Dermatose: Genevard lundi dans le Sud-Ouest, où des blocages routiers persistent
-
Dermatose: des routes toujours bloquées dans le Sud-Ouest, Genevard sur place lundi
-
En Chine, les petites usines aussi veulent monter dans le train de l'automatisation
-
Affrontements entre le Cambodge et la Thaïlande: 26 morts en une semaine
-
La flavescence dorée plonge les viticulteurs hongrois en plein désarroi
-
Sur TikTok, le business lucratif des faux comptes d'actualités
-
De Miami au Guatemala, l'exil d'enfants séparés de leurs familles par Trump
-
Déjà vu? Trump accusé de déni économique et de déclin physique
-
Trump face au casse-tête des coûts d'assurance santé
-
Deux personnes tuées par des tirs à l'université américaine Brown, l'auteur en fuite
-
Ligue 1: Matthieu Udol, l'acharné Lensois qui toque à la porte des Bleus
-
Ligue 1: Rulli, pas au mieux mais toujours précieux pour l'OM
-
Coupe NBA: "j'étais une boule d'énergie", commente Wembanyama
-
Cambodge et Thaïlande continuent à se battre à leur frontière
-
Coupe NBA: retour flamboyant et gagnant pour Wembanyama, en finale avec les Spurs
-
Irrespirable en hiver, Islamabad se met à contrôler les automobilistes
-
Angleterre: Liverpool et Salah en paix, Arsenal s'en sort très bien
-
Champions Cup: Toulouse sombre en deuxième période et s'incline à Glasgow
-
Ligue 1: le PSG triomphe avec peine de Metz grâce à ses "titis" et Doué
-
Espagne: le Barça creuse l'écart et met le Real sous pression
-
Inauguration à Paris d'une passerelle Jane Birkin
De nouveaux pourparlers américano-ukrainiens lundi, après un dimanche de négociations
Le président ukrainien et les négociateurs américains se retrouvent lundi à Berlin, dans la foulée de cinq heures de pourparlers dimanche, Kiev espérant convaincre Washington qu'un cessez-le-feu doit intervenir en Ukraine sans concessions territoriales préalables à la Russie.
Les parties "ont convenu de continuer demain", a indiqué à la presse le conseiller du chef de l'Etat ukrainien, Dmytro Lytvyn, ajoutant que Volodymyr Zelensky s'exprimerait lundi.
Un photographe de l'AFP a vu le dirigeant de l'Ukraine quitter la chancellerie allemande, lieu de la rencontre, peu avant 21H00 (20H00 GMT).
Outre ce deuxième round de discussions ukraino-américaines, de nombreux dirigeants européens sont attendus lundi soir à Berlin pour accorder leurs positions et peser sur le plan américain pour mettre fin à la guerre mais jugé trop favorable à la Russie.
Comme Kiev, ils s'opposent au fait de céder aux revendications maximalistes du Kremlin. Ils craignent que le président américain, Donald Trump abandonne l'Ukraine et que l'Europe soit exclue des débats sur la sécurité du continent, alors que le Kremlin est perçu comme une menace majeure.
Des photos diffusées par la présidence ukrainienne montraient les deux dirigeants en compagnie des émissaires américains, Steve Witkoff et Jared Kushner, gendre de Donald Trump.
MM. Zelensky et Witkoff s'y donnent l'accolade en souriant.
Sur X, M. Merz a jugé que des "questions difficiles" étaient sur la table et que les "intérêts ukrainiens sont aussi les intérêts européens".
Avant la rencontre, M. Zelensky a dit vouloir convaincre les Etats-Unis de soutenir un cessez-le-feu impliquant un gel de la ligne de front, et non la cession de tout le Donbass (est), comme réclamé par le Kremlin et proposé par Washington: "J'aimerais que les Américains nous soutiennent sur ce point".
Kiev et l'Europe ont toujours refusé cette concession, qui récompenserait l'agresseur.
M. Zelensky a aussi dit dimanche, avant les négociations, que Washington n'avait pas encore répondu à la version du plan pour mettre fin au conflit, amendée cette semaine par Kiev et les Européens.
- Fortes objections russes -
Interrogé par la télévision d'Etat russe, le conseiller de Vladimir Poutine, Iouri Ouchakov a balayé ces amendements, prédisant de "fortes objections", tout en admettant ne pas en avoir pris connaissance.
M. Zelensky a aussi réaffirmé vouloir des garanties de sécurité européennes et américains pour dissuader toute nouvelle attaque : "Nous voulons être sûrs qu'il n'y aura pas de répétition de la guerre après un cessez-le-feu".
Il s'agirait d'un mécanisme inspiré de l'article 5 de l'Otan prévoyant une protection mutuelle des pays membres, sans adhésion de l'Ukraine à l'Alliance atlantique, comme le demandait Kiev auparavant.
"C'est déjà un compromis de notre part", a jugé M. Zelensky, car c'est une revendication majeure de Moscou.
Alors que les hostilités se poursuivent, ajoutant de nouvelles victimes aux centaines de milliers de morts et de blessés, Donald Trump a affiché son impatience cette semaine face à la lenteur des discussions autour de son plan de règlement du conflit déclenché par l'invasion russe de février 2022.
- L'Europe veut peser -
Lundi, M. Zelensky doit aussi s'entretenir à Berlin avec le chancelier Merz, son principal bailleur en Europe, et se rendre à un forum économique germano-ukrainien. Dans la soirée, de nombreux dirigeants européens alliés de Kiev sont attendus à Berlin pour un dîner à huis-clos.
Maintenus sur la touche par une Maison Blanche critique de ses alliés du Vieux continent, les Européens veulent peser, arguant que la sécurité européenne est en jeu et que la Russie est une menace continentale.
L'Ukraine est pressée par Washington et Moscou de céder la partie du Donbass qu'elle contrôle, essentiellement dans la région de Donetsk. Il s'agirait d'y créer une "zone économique libre" ou une "zone démilitarisée".
En échange, l'armée russe se retirerait de la partie occupée des régions de Soumy, Kharkiv et Dnipropetrovsk (nord, nord-est et centre-est), mais se maintiendrait dans celles de Kherson et Zaporijjia (sud) dont Moscou revendique l'annexion.
La version du plan américain révisée par les Ukrainiens n'a pas été rendue publique. Un texte a également été soumis à Moscou par Steve Witkoff.
L'Ukraine est particulièrement sous pression: la présidence est affaiblie par un scandale de corruption, l'armée recule et la population soumise à des coupures de courant à cause des frappes russes.
burx-alf/sba
G.Schulte--BTB