- Pourquoi les géants européens de l'automobile calent
- Un dessin de Rimbaud par Verlaine vendu 585.000 euros
- Budget: le NFP et l'alliance RN-Ciotti déposent chacun une motion de censure contre Barnier
- Assassinat de Samuel Paty: un accusé reconnaît avoir commis "l'irréparable"
- L'offensive rebelle en Syrie, une bonne affaire pour la Turquie?
- Immigration: le Sénat réduit le budget de l'aide médicale d'Etat de 200 millions d'euros
- La France est le deuxième marché européen de Temu
- Pour certains blessés à la moelle épinière, le possible espoir de marcher grâce à la stimulation cérébrale
- Géorgie: des milliers de manifestants pro-UE pour la cinquième soirée consécutive
- Le pouvoir d'achat, première préoccupation des Français dans un pays "en déclin" selon un sondage
- Litige financier avec le PSG: Mbappé contre-attaque devant la LFP
- Déjà très affaibli, Macron face à la mission impossible de l'après-Barnier
- Tirs au Liban: Israël et le Hezbollah s'accusent de violer le fragile accord de trêve
- Transport des malades: forte mobilisation des chauffeurs de taxi à Lyon et dans le Sud
- Négociations commerciales: l'agroalimentaire réclame "le juste prix" aux distributeurs
- Stellantis: les syndicats se réjouissent du départ de Tavares
- La Roumanie en route vers un second tour décisif de la présidentielle
- Pas de budget de la Sécu? Beaucoup de problèmes à résoudre
- Procès des viols de Mazan: des avocats plaident pour des peines réduites, voire l'acquittement
- Un groupe jadis lié à al-Qaïda à la tête de la rébellion du nord syrien
- La censure du gouvernement, le va-tout risqué de Marine Le Pen
- Biathlon: Boe à la chasse aux records de Bjoerndalen
- En sursis, le gouvernement Barnier devrait tomber dans les prochains jours
- Début du procès pour viol collectif d'anciens rugbymen de Grenoble, sept ans après les faits
- Coupe Davis: la France accueillera le Brésil au 1er tour
- En grève, des salariés de Volkswagen prêts à "la guerre" pour sauver les usines
- Macron entame une visite d'Etat en Arabie en pleine crise politique en France
- Géorgie: le pouvoir refuse de négocier avec l'opposition en pleines manifestations pro-européennes
- Adolescente disparue: à Pabu, l'angoisse monte après une semaine de vaines recherches
- Barnier actionne le 49.3, mais devrait tomber cette semaine
- Budget de la Sécurité sociale: Barnier engage par le 49.3 la responsabilité du gouvernement
- Wall Street partagée, mais reste attirée par les hauteurs
- Wall Street ouvre en hausse pour débuter un mois de décembre propice aux gains
- Transport des malades: des chauffeurs de taxi en colère et inquiets mobilisés à Lyon et au nord de Marseille
- Vendée Globe: à quoi sert la zone d'exclusion antarctique ?
- Gouvernement: 49.3 imminent, le RN tout proche de la censure malgré les gestes de Barnier
- Le RN promet la censure, Barnier tente de sauver son gouvernement par un nouveau geste
- Ouverture du procès d'ex-rugbymen de Grenoble pour un viol collectif
- Bayern Munich: Kompany espère un retour de Kane avant janvier
- Malgré les législatives, la Roumanie ne sort pas du brouillard politique
- Homicide d'un proche du rappeur SCH: 21 interpellations dans le sud-est
- Foot: Mbappé saisit la commission de discipline de la Ligue pour "défaut de paiement de primes et salaires" par le PSG (LFP)
- Syrie: Assad dénonce une tentative de "redessiner" la carte régionale après l'assaut rebelle
- Ukraine: Scholz promet de l'aide, avec la question de pourparlers avec Moscou en toile de fond
- Macron part en Arabie saoudite pour une visite d'Etat de trois jours
- Affaire 1MDB en Malaisie: l'ex-Premier ministre Najib Razak dénonce des accusations "politiquement motivées"
- Malaisie: l'ex-Premier ministre dénonce des accusations "politiquement motivées"
- Sous la pression des autorités, Glovo va salarier ses livreurs en Espagne
- Transport des malades: des chauffeurs de taxi en colère et inquiets mobilisés à Lyon et Toulon
- Raids russes et syriens meurtriers en Syrie après une offensive rebelle
Fermeture d'une fonderie dans le "Tchernobyl chilien"
Le groupe public chilien Codelco, premier producteur mondial de cuivre, a annoncé vendredi la fermeture d'une fonderie située dans le "Tchernobyl chilien", une région industrielle fortement polluée, pour laquelle le président chilien Gabriel Boric s'est dit "honteux".
Cette fonderie se situe dans la région de Quintero et Puchuncavi, deux villes situées à quelque 140 km à l'ouest de Santiago, que Greenpeace a surnommé le "Tchernobyl chilien". Cette zone industrielle abrite des entreprises minières, pétrolières, cimentières, gazières et chimiques.
A peine annoncée la fermeture de la fonderie Ventanas, ses employés sont descendus dans la rue pour protester. "Nous ne sommes pas responsables de la pollution de Quintero Puchuncavi", a déclaré un de ces employés qui a refusé d'être identifié.
Le président chilien a toutefois assuré qu'aucun des 350 employés de la fonderie ne resterait sans emploi.
Cette décision de fermeture intervient après plusieurs épisodes d'intoxication et de pollution de l'air.
Le 9 juin, plus d'une centaine d'habitants de ces deux villes ont été intoxiqués par du dioxyde de soufre rejeté par l'industrie lourde, second épisode de pollution grave en trois jours.
Au total, 105 habitants des villes de Quintero et de Puchuncavi, ont reçu des soins dans un établissement hospitalier local.
Il s'agissait du second épisode similaire enregistré dans la même semaine après que plus de 75 personnes --dont au moins 50 écoliers-- ont été intoxiquées lundi par une forte concentration de dioxyde de soufre, cinq fois supérieure à la normale.
Le dioxyde de soufre, indicateur de la pollution liée aux combustibles fossiles, fait partie des polluants de l'air dits classiques avec les particules en suspension, l'ozone, le dioxyde d'azote et le monoxyde de carbone.
"Nous ne voulons plus de zones de sacrifice (environnemental). Il y a aujourd'hui des centaines de milliers de personnes qui vivent dans notre pays, exposées à la dégradation sévère de l'environnement que nous avons provoquée ou consentie et pour laquelle, en tant que Chilien, j'éprouve de la honte", a déclaré le président Boric.
La pollution s'est accrue dans cette zone de 50.000 habitants lorsque le gouvernement chilien l'a convertie à partir de 1958 en un centre industriel qui abrite aujourd'hui quatre centrales électriques au charbon et des raffineries de pétrole et de cuivre.
N.Fournier--BTB