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Ostdeutsche Beschäftigte profitieren besonders von Mindestlohnerhöhung
Beschäftigte in Ostdeutschland profitieren einer Studie zufolge besonders von der anstehenden Mindestlohnerhöhung. In den ostdeutschen Bundesländern ohne Berlin verdienen derzeit mehr als 29 Prozent der Beschäftigten, die Anspruch auf Mindestlohn haben, weniger als zwölf Euro die Stunde, wie eine Studie des Wirtschafts- und Sozialwissenschaftlichen Instituts (WSI) der Hans-Böckler-Stiftung ergab. In Westdeutschland inklusive Berlin sind es demnach 16,1 Prozent.
Die Studie liefert Daten für alle Bundesländer, Landkreise und kreisfreie Städte. Die meisten Geringstverdiener gibt es demnach in den Kreisen Sonneberg in Thüringen (44 Prozent), Teltow-Fläming in Brandenburg (43,1 Prozent) und Saale-Orla in Thüringen (40,0 Prozent). Am niedrigsten ist der Anteil der Beschäftigten, die aktuell noch unter zwölf Euro pro Stunde verdienen, in Wolfsburg (7,9 Prozent), Erlangen (8,1 Prozent) und München (9,7 Prozent).
Laut WSI verbessert sich durch die Mindestlohnerhöhung vor allem die Bezahlung von Beschäftigten ohne Tarifvertrag sowie Minijobbern. Auch Beschäftigte in Teilzeit werden demnach bislang häufiger unter dem Niveau des künftigen Mindestlohns entlohnt.
Im Oktober steigt die gesetzliche Lohnuntergrenze von derzeit 10,45 Euro brutto pro Stunde auf zwölf Euro. Von der Erhöhung werden laut WSI 6,64 Millionen Menschen profitieren.
"Der Mindestlohn von zwölf Euro bringt vielen Beschäftigten eine spürbare Lohnsteigerung in einer Zeit, in der das wegen hoher Preise bei Energie und Lebensmitteln besonders wichtig ist", erklärte der WSI-Arbeitsmarktexperte Eric Seils. "Und das ohne absehbare Auswirkungen auf die Beschäftigung, wie zum Beispiel eine aktuelle Befragung unter den Arbeitsagenturen ergibt."
DGB-Vorstandsmitglied Stefan Körzell sagte, die Erhöhung auf zwölf Euro pro Stunde sei ein Erfolg der Gewerkschaftsbewegung und der vielen Millionen Menschen im Land, "die jahrelang für die Erhöhung der Lohnuntergrenze gestritten haben". Für viele Beschäftigte bedeute die Mindestlohnerhöhung "einen Lichtblick in diesen schwierigen Zeiten".
Unter denjenigen, die von der Erhöhung profitieren, sind laut DGB 2,55 Millionen vollzeitbeschäftigt. Wer Vollzeit arbeite, habe ab Oktober monatlich brutto etwa 270 Euro mehr im Portemonnaie im Vergleich zum aktuellen Mindestlohn, rechnete Körzell vor. Das helfe besonders Beschäftigten in Branchen mit niedrigen Löhnen wie dem Gastgewerbe, Einzelhandel, Lieferdiensten, Verkehr und Lagerei.
Damit werde sich der höhere Mindestlohn auch positiv auf die Konjunktur auswirken, erklärte der Gewerkschafter: Der höhere Mindestlohn bedeute einen Kaufkraftgewinn von insgesamt 4,8 Milliarden Euro. "Das heißt: Ein Großteil der zusätzlichen Einkommen wird unmittelbar in den Wirtschaftskreislauf zurückfließen und helfen, die Konjunktur zu stabilisieren."
E.Schubert--BTB