-
Agression sexuelle: six mois de prison avec sursis requis contre l'animateur Vincent Cerutti
-
Le candidat PS à la mairie de Paris Emmanuel Grégoire favorable à une vente du Parc des Princes au PSG
-
Est de la RDC: le M23 soutenu par le Rwanda pénètre dans la ville stratégique d'Uvira
-
Honduras: la présidente dénonce la "falsification" des résultats et l'ingérence de Trump
-
Le budget de la Sécu adopté à l'Assemblée, victoire cruciale pour Lecornu
-
Pierre Moscovici défend l'indépendance de la Cour des comptes pour sa dernière audition à l'Assemblée
-
Budget de la Sécu: Lecornu salue une "majorité de responsabilité" qui a permis son adoption
-
Budget: après le vote de mardi, quelles sont les prochaines étapes au Parlement ?
-
Le budget de la Sécu adopté à l'Assemblée, une victoire cruciale pour Lecornu
-
Enfant tondu dans un foyer à Paris: enquête pour "violences volontaires"
-
Budget: des personnalités s'alarment de la "mise à mort" de 60 millions de consommateurs
-
Budget de la Sécu: les députés approuvent la partie dépenses, avant le vote sur l'ensemble du texte
-
F1: Marko, la fin d'une ère chez Red Bull
-
Est de la RDC: exode massif autour d'Uvira, plus que jamais menacée par le M23
-
Budget de la Sécu: l'Assemblée approuve une hausse des dépenses d'assurance maladie de 3%
-
Budget de la Sécu: le gouvernement fait marche arrière sur les tarifs médicaux
-
Contrôle de France Télé: la Cour des comptes réaffirme son indépendance
-
Dermatose bovine: pas de vaccination générale à ce stade, mais des "réflexions"
-
Epstein: un juge lève le secret sur des documents visant sa complice Maxwell
-
Après le suicide de son fils de 15 ans, une mère dénonce le silence des plateformes numériques
-
Air Antilles interdite de vols pour "défaillances très significatives" en matière de sécurité
-
Trump étrille l'Europe "qui se délabre" à cause de l'immigration
-
La Bourse de Paris termine en recul avant la Fed
-
Lutte contre les violences sexistes dans les transports: le gouvernement veut accélérer
-
Mort à 83 ans de Iain Douglas-Hamilton, fondateur de Save the Elephants
-
Critiqué, le président de la FIA ne changerait "rien" si c'était à refaire
-
Ukraine : Zelensky prêt à envoyer sa proposition révisée du plan Trump
-
La goélette Tara va partir à la recherche des "coraux de demain"
-
4,5 tonnes de cigarettes saisies par les douanes françaises
-
L'UE promet de mieux contrôler ses importations agricoles, avant le Mercosur
-
L'Ukraine devrait organiser des élections, selon Trump
-
Les Bourses européennes terminent sans entrain
-
L'animateur Vincent Cerutti jugé pour avoir mordu les fesses d'une ex-collègue
-
Après la polémique Brigitte Macron, Abittan rappelle être "innocent" aux yeux de la justice
-
Réouverture annoncée pour mercredi de la principale voie d'aide pour Gaza à partir de la Jordanie
-
Lutte anticorruption: la Cour des comptes invite à clarifier les rôles et à plus d'"engagement gouvernemental"
-
Deux chasseurs jugés pour avoir tué un cerf sur la propriété de Luc Besson
-
Un incendie ravage un immeuble de Manhattan
-
Nobel : des doutes s'installent sur la venue à Oslo de l'opposante vénézuélienne Machado
-
Gaz en Ukraine: un hiver "plus dur" attendu après des destructions "considérables" (responsable à l'AFP)
-
La France veut donner la priorité à l'électricité pour s'affranchir des importations d'énergies fossiles
-
Le repreneur en série ACI Group devant la justice, des centaines d'emploi en jeu
-
F1: Helmut Marko, le conseiller historique de Red Bull, quitte son poste
-
Wall Street sans énergie avant la Fed
-
Grèce: les agriculteurs en colère bloquent les routes avec des milliers de tracteurs
-
Meurtre en direct sur les réseaux sociaux près de Nîmes en juillet: huit suspects interpellés
-
Miss France 2026: deux miss régionales destituées après des insultes
-
IA: Microsoft va investir 17,5 milliards de dollars en Inde, son "plus gros investissement" en Asie
-
Taxe de séjour: Oléron fait condamner une nouvelle plateforme, Booking
-
Pour le Hamas, pas de deuxième phase du cessez-le-feu tant qu'Israël poursuit ses "violations"
Covid: fureur à Hong Kong après la décision d'éliminer massivement les hamsters
Le gouvernement de Hong Kong faisait face à un tollé mercredi après sa décision d'abattre des centaines de petits animaux de compagnie après que des hamsters ont été testés positifs au Covid-19 dans une animalerie de la ville.
Près de 2.000 hamsters et autres petits mammifères --chinchillas, lapins, cochons d'Inde-- vont être abattus par "mesure de précaution", a déclaré mardi le gouvernement. L'importation de ces animaux a été également interdite.
Cet abattage a été ordonné après l'apparition de cas de coronavirus dans une animalerie de Hong Kong qui poursuit une stratégie "zéro Covid" pour éviter à tout prix la propagation du coronavirus sur son territoire, à l'instar de la Chine continentale.
Mardi soir, des employés en tenue de protection sont sortis du magasin en question, avec à la main des sacs à ordures rouges marqués d'un avertissement de danger biologique.
Mercredi, devant un centre pour animaux géré par le gouvernement, un homme qui a demandé à être identifié par son seul nom de famille, Hau, a raconté à l'AFP que son fils de 10 ans était inconsolable à l'idée de perdre "Pudding", un hamster acheté récemment.
"Je n'ai pas le choix, le gouvernement a fait en sorte que cela semble très grave", a-t-il témoigné, tout en montrant des vidéos de son fils pleurant devant la cage rose de Pudding. Il reconnaissait cependant être inquiet pour ses parents âgés avec lesquels il vit.
- "Mesures de précaution" -
De leur côté, les amoureux des animaux à Hong Kong n'ont pas tardé à faire part de leur indignation: une pétition Change.org a recueilli plus de 23.000 signatures en moins d'une journée et la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA) a dénoncé la décision du gouvernement.
"La SPCA est choquée et préoccupée par la récente annonce concernant le traitement de plus de 2.000 animaux", a-t-elle déclaré dans un communiqué envoyé à l'AFP mercredi.
"Nous exhortons les propriétaires d'animaux à ne pas paniquer et à ne pas abandonner leurs animaux".
Un groupe Facebook rassemblant des amoureux de hamsters a déclaré avoir reçu plus de 20 demandes de renseignements sur la question de savoir si les propriétaires devaient renoncer à leur animal.
Les hamsters testés positifs au Covid-19 ont vraisemblablement été importés des Pays-Bas, selon les autorités.
"Au niveau international, il n'y a pas encore de preuve que les animaux de compagnie puissent transmettre le coronavirus à l'homme, mais (...) nous prenons des mesures de précaution" contre tout risque de transmission, a déclaré Sophia Chan, secrétaire à la Santé, lors d'une conférence de presse.
La stratégie "zéro Covid" de Hong Kong consiste en des restrictions draconiennes d'entrée sur le territoire, un traçage des cas et des dépistages massifs.
Cette approche a permis de maintenir un très faible niveau de contaminations, mais a largement coupé ce centre financier du reste du monde.
- "Personne ne m'enlèvera mon hamster" -
"Personne ne m'enlèvera mon hamster à moins de me tuer", a déclaré mercredi au média local The Standard une femme non identifiée qui a acheté son animal le 1er janvier.
Elle a remis en question la décision du gouvernement d'abattre massivement les bêtes, rappelant que plusieurs dizaines de hauts responsables hongkongais avaient été envoyés en camp de quarantaine début janvier pour avoir participé à une fête d'anniversaire où deux participants avaient été testés positifs au Covid-19.
"Si toutes les personnes qui ont assisté à la fête d'anniversaire sont éliminées, je remettrai mon hamster au gouvernement", a-t-elle lancé, s'interrogeant: "est-ce qu'ils vont aussi tuer tous les patients infectés par le Covid-19 et leurs proches?"
Les réseaux sociaux ont raillé cette décision, les internautes publiant des illustrations de hamsters portant des masques chirurgicaux ou affrontant La Faucheuse.
Le plus grand parti d'opposition de la ville a affirmé mardi soir que cette politique de "mise à mort sans discernement" ne fera qu'engendrer "le ressentiment du public".
"Si des chats, des chiens ou d'autres animaux sont testés positifs au coronavirus à l'avenir, seront-ils également ciblés?", a écrit Felix Chow, un porte-parole du Parti démocratique, sur la page Facebook officielle du groupe.
D'autres tempèrent. Le microbiologiste de renom Yuen Kwok-yung, également conseiller du gouvernement, a qualifié la mesure de "décisive" et "prudente".
Interrogée sur l'abattage des hamsters à Hong Kong, l'Organisation mondiale de la santé a déclaré que certaines espèces animales peuvent être infectées par le coronavirus et le transmettre aux humains.
"Ce risque reste faible, mais nous l'examinons en permanence", a déclaré Maria Van Kerkhove, de l'OMS.
M.Odermatt--BTB