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Zehntausende bei unangekündigter Trauerfeier für Ex-Militärmachthaber Musharraf
Rund 10.000 Menschen haben am Dienstag in Karachi an einer Trauerfeier für den umstrittenen ehemaligen pakistanischen Militärmachthaber Pervez Musharraf teilgenommen. Bei einer Zeremonie auf einem Militärgelände in der südpakistanischen Stadt wurden nach Angaben eines AFP-Reporters Gebete rezitiert. Später wurde der Sarg, eingehüllt in die Nationalflagge Pakistans, in einer kleineren Zeremonie unter strengen Sicherheitsvorkehrungen mit mehreren hundert Anwesenden auf einem nahegelegenen Militärfriedhof bestattet.
Unter den Trauernden waren größtenteils pensionierte oder noch aktive Militärs. "Ihm kam nicht die Ehre zuteil, die ihm gebührt", befand eine Trauernde nach den Gebeten. "Die Regierung hat nichts getan - die Beerdigung hätte im Nationalstadium ausgerichtet werden sollen."
Das Militär gilt in weiten Teilen Pakistans als übermächtig. Doch weder der derzeitige Armeechef, noch der Premierminister oder der Präsident Pakistans wohnten der Trauerfeier bei. Die Beisetzung war nicht offiziell angekündigt worden, Medien wurden davon abgehalten, darüber zu berichten, sie wurde auch nicht im Fernsehen übertragen. Musharraf war nach Armeeangaben am Sonntag im Alter von 79 Jahren nach langer Krankheit in Dubai gestorben. Seine sterblichen Überreste waren am Montag nach Pakistan überführt worden.
Musharrafs Kritiker werfen ihm schwere Menschenrechtsverletzungen während seiner Amtszeit vor. Der Bundesminister Khurram Dastgir von der regierenden Partei PMLN teilte zu Musharrafs Tod mit, man könne "vergeben, aber nicht vergessen". Unter anderem wegen Musharrafs Rolle bei Folter und Internierungen sowie des Aushebelns von Verfassung und Justiz, habe Musharraf Pakistan ein "schreckliches und trauriges Erbe" hinterlassen.
Der Vier-Sterne-General hatte 1999 in einem unblutigen Putsch die Macht an sich gerissen und von 2001 bis 2008 den Posten des Armeechefs und des Präsidenten auf sich vereint. Nach den Terroranschlägen vom 11. September 2001 in den USA wurde Musharraf zum wichtigsten Verbündeten Washingtons in der Region, auch nach dem Einmarsch der USA im benachbarten Afghanistan. Diese Positionierung führte zu mehr ausländischen Hilfsgeldern und half, Pakistan zu modernisieren und die Wirtschaft zu stärken.
Gleichzeitig verschärften sich durch seine Kooperation mit den USA innenpolitische Konflikte; mehrmals versuchten Islamisten, Anschläge auf sein Leben auszuüben. 2007 ließ Musharraf die Rote Moschee in Islamabad stürmen, in der radikale Koranschüler die Einführung der Scharia forderten. Die Armee tötete über 100 Menschen an diesem Tag, darunter auch einige Frauen und Kinder. Im gleichen Jahr versuchte er, die Unabhängigkeit der Justiz außer Kraft zu setzen.
Die größte englischsprachige Zeitung in Pakistan veröffentlichte einen Nachruf, in dem Musharraf als "eine Art Rätsel" beschrieben wird. Sein Regierungsstil sei fehlerbehaftet und autoritär, aber doch liberalen Reformen zugeneigt gewesen. Musharraf lebte seit 2016 im Exil in Dubai.
P.Anderson--BTB